Concevoir des équipements publics pour enfants handicapés, c’est de l’inclusion vertueuse. Elle favorise « le vivre ensemble ».

Il est aussi question d’écriture inclusive. Sous prétexte de féminisme, on abolit la règle grammaticale, simple convention, qui veut que « le masculin l’emporte sur le féminin », sans se rendre compte qu’il ne s’agit, en l’espèce, ni de domination des hommes sur les femmes, ni d’une question de genre.

Rien à voir avec l’écriture inclusive, prétendument féministe.

Essayez de lire tout haut l’extrait suivant (dont, contrairement à notre habitude et par charité, nous n’indiquerons pas la source) :

« Face à la vague de spectateur.rice.se se plaignant de ne pas entendre les dialogues sous la musique certains cinémas ont carrément installé des panneaux rejetant la faute sur le mixage. Un.e réalisateur.rice recherche une impression de tumulte qui passe par la surcharge sonore. Il/elle ne veut pas que les figurant.e.s s’arrêtent de discuter quand il/elle tourne par exemple dans un bar. C’est récupéré tant bien que mal par les mixeur.euse.s et les monteur.euse.s son. Des micros-cravates toujours plus performants permettent à l’acteur.rice de s’éloigner au point de couper son signal. »

Prospective.fr

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