Le coin du poète: Jean Recoing
Le chat sur mes genoux S’assoupit Rêve D’une mouche peut-être Un éclair d’or Filtre sous sa paupière. Son œil reclos Le chat sur mes genoux Ronronne à petit bruit Jean...
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Sep 1, 2021 | Actualité Prospective
Le chat sur mes genoux S’assoupit Rêve D’une mouche peut-être Un éclair d’or Filtre sous sa paupière. Son œil reclos Le chat sur mes genoux Ronronne à petit bruit Jean...
En savoir plusSep 1, 2021 | Actualité Prospective
Septembre 2021 – Courrier des lecteurs La dernière phrase de notre édito de juillet-août, « que celui ou celle qui détient la vérité et peut le prouver lève le doigt, je lui enverrai une boîte de chocolats », a suscité des...
En savoir plusJuil 1, 2021 | Actualité Prospective
Ils sont nombreux à prétendre détenir la vérité et à la proclamer avec véhémence. Oui, mais voilà… Sur cette question qui justifierait, au minimum, un épais traité de philosophie, je me contenterai d’illustrer mon doute par deux...
En savoir plusJuil 1, 2021 | Actualité Prospective
L’éditorial de Prospective de Juin 2021 me fait réagir dans une totale approbation de son message. Ces réflexions sont une justification pour tenter de faire mieux vivre la démocratie. P.B., Le Canet-en-Roussillon Le Conseil...
En savoir plusJuil 1, 2021 | Actualité Prospective
C’était pour afficher leur richesse, leur originalité et leur puissance que l’empereur...
En savoir plus« Au début des années 2000, la vulgarisation, c’était la cerise sur le gâteau. Maintenant, la cerise est devenue le gâteau. »
Jean-Michel Courty, physicien – Le Monde – 28 février 2024
« Les réseaux sociaux utilisent les mêmes artifices pour garder les gens le plus longtemps possible devant leur écran, que la fameuse boîte de Skinner, où des rats appuient frénétiquement sur un levier qui leur apporte aléatoirement une friandise. »
Augustin Lignier, International New York Times, 27 janvier 2024
PRINTEMPS
Une tendre buée verte
Mousse sur les rameaux dans les hautes futaies
Le hêtre et le tilleul y respirent en paix
La tiédeur du soleil
Poussés par le vent d’ouest
Les nuages déposent leur précieuse pluie
Sur les bourgeons qui s’ouvrent
Et les troncs reverdis
Tout brille
La canopée se meut en ondulations lentes
La jonquille couvre d’or les feuilles du passé
Jean Recoing