Les secrets de la bioluminescence
La bioluminescence des espèces marines est source d’émerveillement et de questionnement pour ceux...
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Sep 1, 2022 | Actualité Prospective
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En savoir plusSep 1, 2022 | Actualité Prospective
Ce fin fil gris dans tes cheveux Que nous dit-il ô mon aimée Notre jeunesse est donc enfuie Que jour après jour soient comptés Par la clepsydre impitoyable Nos amours des vertes années Les fils d’argent du temps qui pleure...
En savoir plusSep 1, 2022 | Actualité Prospective
Je suis tout à fait d’accord avec votre édito de juillet-août mais le trouve très peu réjouissant. Je pense même qu’il est possible d’en rajouter : – Sur la compensation de la distance par la...
En savoir plusJuil 1, 2022 | Actualité Prospective
L’exode citadin Des professionnels qui, en raison de la nature de leur activité, sont en mesure de le faire, quittent les grandes villes. La plupart conservent leur emploi grâce au télétravail. Quelques-uns deviennent...
En savoir plusJuil 1, 2022 | Actualité Prospective
Enclavé dans l’Himalaya entre l’Inde et la Chine, sujet à des tremblements de terre, ravagé par...
En savoir plus« Le pilote expert et adroit ne navigue pas à l’arbitre du vent ; au contraire, utilisant sa force, il dispose ses voiles de telle sorte qu’elles le mènent au port désiré… Il n’y a pas de navire plus dangereux que la couronne, exposée aux vents de l’ambition, aux écueils des ennemis et aux bourrasques du peuple… »
Diego de Saavedra Fajardo, diplomate et écrivain espagnol (1584-1648) – cité par Michel Le Bris in « D’or, de rêves et de sang »
« Chagall a peint le plafond de l’Opéra de Paris à 77 ans et Verdi composé « Falstaff » à 80 ans. Claude Monet a achevé « Le Pont japonais » à 82 ans, et Martin Scorsese, « Killers of the Flower Moon », à 81 ans. »
Erwan Le Morhedec – Le Figaro – 9 février 2024
Dans le marbre de ta mémoire
Dans le marbre de ta mémoire
Je graverai mon nom
Afin que jamais tu n’oublies
Les traits de mon visage
L’amour qui nous avait unis
Nos envols sur la crête des vagues
Et le sombre et profond silence
Des nuits où nos doigts enlacés
Nous écoutions sonner nos cœurs à l’unisson
Dans le marbre de ta mémoire
Je veux inscrire ces matins
Où les rais d’un soleil ardent
Te délivraient de ton sommeil
Où dans le trait des hirondelles
Griffant l’immensité du ciel
Montait le parfum du printemps
Où nous rêvions à tire d’ailes
De les y rejoindre en volant
Dans le marbre de ta mémoire
Je veux ciseler l’éphémère
Compter les jours où nous vécûmes
Les jours où nos âmes mêlées
Les nuits où nos corps enlacés
Nous suivions les portées du désir
Comme un archet au bout des doigts
Nuits où le murmure de ta voix
Chantait la salsa du plaisir
Dans le marbre de ta mémoire
Je veux être mort ou vivant
Le glyphe que l’usure du temps
Ne peut effacer ni détruire
Jean Recoing