Je suis « retraité professionnel », engagé dans plusieurs actions pour une société de paix et de bonheur pour le plus grand nombre.

Vos écrits participent à mon bien vieillir longtemps. Continuez donc, je vous en suis reconnaissant.

PC 

Je me permets de vous écrire à propos de l’article « se mettre en transe pour soigner » de votre édition de décembre, qui m’a beaucoup intéressé.

Même si la création d’un cours pour professionnel est une première, il aurait fallu mentionner Tobie Nathan, et le centre d’ethnopsychiatrie qu’il a créé à Bobigny, le centre Georges Devereux, lié à Paris VIII, où il soigne depuis 25 ans les patients issus de l’immigration et leurs descendants. Les recherches et la pratique de Tobie Nathan prennent en compte l’environnement linguistique, culturel et cultuel des patients. Toute sa bibliographie le démontre, notamment son plus récent ouvrage, Secrets de thérapeute (E. Eyrolles, 2021)

Avant lui, Georges Devereux dans ses cours des années 70, traitaient déjà de la transe. C’est dommage que l’article ne parle pas de cet historique.

LN

Dans votre article « Quand les langues disparaissent… » vous faites mention de 80 langues parlées en Papouasie. A ma connaissance on dénombre 800 langues sur l’ile comprenant la Papouasie-Nouvelle Guinée et l’Irian Jaya!
…. Peut-être une simple coquille (mais quand même 720 langues dans la petite coquille) !

PM 

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